TOGO : PRISE EN OTAGE D’UN NOURRISSON DE 18 MOIS. L’OPINION PUBLIQUE NATIONALE ET INTERNATIONALE INTERPELLÉES
Afriquenligne.tg
Voici le récit de la scène. Une maman est allée déposer son bébé de 18 mois auprès de son prétendu beau frère célibataire à Lomé afin d’aller effectuer pour une semaine les opérations de recensement électoral à l’intérieur du pays.
Les opérations de recensement étant retardées par la CENI comptant pour la deuxième zone, dame Adjo (les noms sont changés pour le respect de la présomption d’innocence) retourne auprès de sa prétendu beau frère pour récupérer son enfant.
À sa grande surprise le prétentu beau frère l’informe que l’enfant ne se trouve plus chez lui et que sa belle sœur est venue récupérer l’enfant pour une première destination à l’intérieur du pays (dans une autre préfecture.) Prise de panique, la pauvre dame s’apprête à se rendre à l’intérieur du pays puis on l’informe ensuite que l’enfant est de nouveau reconduit dans un village lointain au Bénin. Etiolé, la maman à envoyé une somme de 10.000frs pour que sa prétendue belle sœur lui ramène l’enfant mais rien.
La Pauvre dame se plaint que le lait de ses seins coulent et demande à qui veut l’aider à récupérer son enfant. L’opinion publique est donc interpellée. Justice, UNICEF, ONG de défense du droit des enfants….
Dans la foulée le beau frère lui envoi une vidéo tournée au Bénin dans laquelle on voit entièrement affamé l’enfant marchant à reculon pour tomber sur le sol. Le corps mince, il ne restait que la tête de l’enfant. Aucune image de celui qui a tourné la vidéo n’apparaît.
Le prétendu père de l’enfant qui prétend se trouver en Europe téléguide les choses de l’Etranger. Il demande à sa prétendue femme d’ailleurs ils ne sont plus ensemble et le monsieur a réclamé et obtenu de la part de son prétendu beau père une somme d’une valeur de (trente mille francs CFA) 30,000frs qu’il prétant être la dote ou frais du premier pas pour avoir droit sur la femme. Cette somme a été réclamée et obtenu publiquement devant les Officiers de Police Judiciaire et la famille lors d’une comparution judiciaire. Du coup, l’homme n’est plus lié par un engagement auprès de la famille. Ce dernier menace d’emprisonnement son ex beau père et l’ex copain de la femme de mort.
Il faut dire que la paternité de l’enfant est mise en doute par le copain de la fille a qui la fille avait déjà donné un garçon qui d’ailleurs le ressemble trait pour trait. Le copain de la femme a payé des pagnes pour doter sa copine avant l’intrusion du sieur Kokou. Ce dernier a pris de force le premier garçon du copain de la fille avant de le relâcher sous l’effet de la justice.
Aujourd’hui, le prétendu père Kokou qui prétend se trouver en Europe exige que l’ex copain de la femme se retire du contencieux de paternité avant de lui remettre l’enfant. Ce dernier refuse et déclare que l’affaire se trouve entre les mains de la justice qui demandera certainement un test de paternité.
D’ailleurs, le nommé Kokou a déjà refusé deux convocations des autorités judiciaires et n’a pas comparu à l’audience publique du mois dernier sur réquisition d’une citation d’huissier. Plusieurs plaintes sont déposées contre le sieur Kokou dont injures envers magistrat (dépositaire de l’autorité publique)
Des doutes planent sur l’état de fécondité du prétendu Kossi se trouvant en europe qui vivait depuis longtemps dans un couple sans enfant.
L’opinion publique togolaise et internationale est donc interpellée pour le dénouement de cette situation afin que le petit Calice retrouve la chaleur de sa mère.
Pour des renseignements complémentaires, merci s’adresser à la rédaction du journal au numéro (228) 90 10 72 40. Plaisantin s’abstenir
Aux dernières nouvelles, le prétendu père vient de confirmer dans un audio authentique qu’il vient ainsi de récuperer son enfant par cette prise d’otage dont la rédaction a obtenu copie.
La femme est seule face à cette situation et ne sait à quel saint se vouer. De grâce aidez la maman à redisposer de son enfant. Cela va dans l’intérêt de l’état de droit et des libertés que nous voulons dans le monde.
La rédaction
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